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Château Bouscaut
Château Bouscaut 2023
Vin Blanc / Bordeaux / Pessac-Léognan Aop / Grand Cru Classé / bouteille 75cl / 13 °- Fin
- Vif
- Aromatique
Grand Cru Classé de Graves en rouge et en blanc
Une propriété de la famille Lurton-Cogombles
La dynastie Lurton, plus grande famille viticole du monde
Rendement faible de 30 hectolitres à l'hectare
Elevé 10 mois en barriques de chêne (30% de bois neuf)
Une propriété de la famille Lurton-Cogombles
La dynastie Lurton, plus grande famille viticole du monde
Rendement faible de 30 hectolitres à l'hectare
Elevé 10 mois en barriques de chêne (30% de bois neuf)
Caissage
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Marque
Château Bouscaut
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Appellation
Pessac-Léognan Aop
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Millésime
2023
-
Couleur
Blanc
-
Cépage(s)
Sauvignon Blanc /
Sémillon
-
Degré
13 °
-
Type de culture
En Conversion Bio
-
Température de service
Entre 10 Et 12 C
- Région
- Bordeaux
- Pays Origine
- France
- Classement
- Grand Cru Classé
- Fermeture
- Bouchon
- Contenance
- Bouteille 75cl
- Super famille
- Vin
- Famille
- Bordeaux Blanc
- Sous Famille
- Pessac-Léognan Blanc
- Pays de fabrication
- France
- Volume total
- 0.75 L
- Bio
- Non
- Code Pays
- Fr
- Rive
- Gauche
P23102100
L'info en +
Appartenant à la famille Lurton-Cogombles, le Château Bouscaut est un Cru Classé de Graves.La propriété produit des vins rouges et blancs, tous deux classés grands crus, une distinction que seuls six châteaux se partagent sur le vignoble bordelais. Une dizaine d'hectares sont dédiés au sémillon et sauvignon blanc, 34 hectares au merlot et cabernet sauvignon avec un peu de malbec. Le terroir est principalement composé de beaux argiles sur socle calcaire.
Avec 27 châteaux et plus de 1300 hectares de vignes, la dynastie Lurton est la plus grande famille viticole au monde et un nom emblématique du vignoble bordelais.
Vinification en cuves inox thermorégulées.
Rouge : élevage 14 à 18 mois en barriques de chêne (40% neuves).
Second vin : Les Chênes de Bouscaut (disponible en rouge et en blanc).
Certification Haute Valeur Environnementale depuis 2018.
Conversion à la viticulture biologique en cours
A Bouscaut, on cultive la vigne depuis le 17ème siècle. Cette ancienne exploitation connue sous le nom de Haut Truchon a été achetée et rebaptisée de son nom actuel en 1875 par la famille Courtade. Après avoir été revendue en 1925 à Victor Place et au comte de Rivaud, la propriété déborde de vie. Outre la rénovation des chais, le drainage du vignoble et l’ajout d’une tour pour le plaisir des yeux, le château ne désempli pas d’invités issus du monde du spectacle, de la finance et de la politique.
Réquisitionné pendant la Seconde Guerre Mondiale, le domaine retrouve son faste dès la libération avec le retour immédiat de ses prestigieux invités et par sa distinction en tant que Cru Classé de Graves (en rouge et en blanc) en 1953. Preuve que le vignoble est tenu avec une rigueur extrême. En proie à un sérieux incendie en 1962 qui épargna miraculeusement les chais, le château est entièrement rénové 4 ans plus tard par l’architecte Michel Garros selon les plans d’origine. Revendu à un groupe d’investisseurs américains en 1968, le Château Bouscaut entre finalement dans le giron de la famille Lurton en 1979, également propriétaire de nombreux crus dont le prestigieux Châteaux Yquem. Après avoir transmis ses propriétés à ses enfants en 1977, c’est Sophie (7ème de ses 11 enfants) qui prend les rênes de Bouscaut. A force de rénovation, de replantation et investissements pour moderniser les installations, à l’image du chai en béton décoré de douelles de barriques réalisé par l’architecte Arnaud Boulain, Sophie et son mari Laurent Cogombles, ingénieur agronome de formation, n’ont pas ménagé leurs efforts pour tirer le meilleur de ce terroir singulier.
Le vignoble de 50 hectares (situé sur la commune de Cadaujac) d’un seul tenant planté en merlot, cabernet sauvignon, malbec, sauvignon et sémillon sur un sol de graves riche en argile et en calcaire, est cultivé selon les principes de la lutte raisonnée. Les vinifications parcellaires se font en cuves inox et bois pour les rouges et uniquement en bois pour les blancs.
Labélisé HVE3 depuis 2018, le Château Bouscaut a connu dans la foulée une belle progression qui a permis de faire ressortir l’originalité de son terroir. Nettement plus réguliers et beaucoup plus charmeurs, les vins ont également gagné en rondeur. Les Chênes de Bouscaut, le second vin de la propriété, est décliné en blanc et en rouge avec un bel équilibre.
Réquisitionné pendant la Seconde Guerre Mondiale, le domaine retrouve son faste dès la libération avec le retour immédiat de ses prestigieux invités et par sa distinction en tant que Cru Classé de Graves (en rouge et en blanc) en 1953. Preuve que le vignoble est tenu avec une rigueur extrême. En proie à un sérieux incendie en 1962 qui épargna miraculeusement les chais, le château est entièrement rénové 4 ans plus tard par l’architecte Michel Garros selon les plans d’origine. Revendu à un groupe d’investisseurs américains en 1968, le Château Bouscaut entre finalement dans le giron de la famille Lurton en 1979, également propriétaire de nombreux crus dont le prestigieux Châteaux Yquem. Après avoir transmis ses propriétés à ses enfants en 1977, c’est Sophie (7ème de ses 11 enfants) qui prend les rênes de Bouscaut. A force de rénovation, de replantation et investissements pour moderniser les installations, à l’image du chai en béton décoré de douelles de barriques réalisé par l’architecte Arnaud Boulain, Sophie et son mari Laurent Cogombles, ingénieur agronome de formation, n’ont pas ménagé leurs efforts pour tirer le meilleur de ce terroir singulier.
Le vignoble de 50 hectares (situé sur la commune de Cadaujac) d’un seul tenant planté en merlot, cabernet sauvignon, malbec, sauvignon et sémillon sur un sol de graves riche en argile et en calcaire, est cultivé selon les principes de la lutte raisonnée. Les vinifications parcellaires se font en cuves inox et bois pour les rouges et uniquement en bois pour les blancs.
Labélisé HVE3 depuis 2018, le Château Bouscaut a connu dans la foulée une belle progression qui a permis de faire ressortir l’originalité de son terroir. Nettement plus réguliers et beaucoup plus charmeurs, les vins ont également gagné en rondeur. Les Chênes de Bouscaut, le second vin de la propriété, est décliné en blanc et en rouge avec un bel équilibre.
En 1964, les viticulteurs de la région nord des Graves de Bordeaux ont demandé à l’INAO la reconnaissance d’une ou deux appellations communales et c’est ainsi qu’a été créée l’appellation Pessac-Léognan.
Aujourd’hui, le vignoble de Pessac-Léognan couvre une superficie de plus de 1610 hectares de sols les plus graveleux et les plus typiques. Environ 70 crus se partagent ce magnifique terroir, parmi lesquels on distingue 16 Crus classés dont Haut-Brion (classé en 1er Cru en 1855 et 1973). Ces derniers représentent plus du tiers de la production des Pessac-Léognan blancs et rouges.
L’encépagement pour les vins rouges se compose de Cabernet Sauvignon, Cabernet Franc, Petit Verdot, Côt ou Malbec, Merlot noir et Carmenère et pour les vins blancs, de Sémillon, de Sauvignon (au moins 25%), ainsi que de Muscadelle.
Les rouges présentent des vins structurés, avec des tannins nobles, subtils et denses, Ils offrent pour beaucoup de connaisseurs, à la fois la grandeur, la finesse et l’élégance ainsi qu’un joli potentiel de garde. Le Château Haut-Brion, d’ailleurs, se pare auprès de nombre d’amateurs, du titre de vin le plus élégant du monde…
Les blancs, présentent généralement une belle fraîcheur, une belle vivacité et tonicité avec des fins de bouche très longue. Ce sont les seuls qui peuvent rivaliser avec les grands blancs de Bourgogne.
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