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Château Palmer
Alter Ego De Palmer 2023
Vin Rouge / Bordeaux / Margaux Aop / bouteille 75cl / 13 °
Le cadet du Château Palmer, Troisième Grand Cru classé 1885
Servi jadis au palais de Richelieu et plus tard à la cour de Louis XV
L'un des meilleurs seconds vins de l'appellation Margaux
Un vignoble travaillé selon les principes de la biodynamie
Elevage en fûts de chêne pendant 20 mois, 50 à 60% de bois neuf
Servi jadis au palais de Richelieu et plus tard à la cour de Louis XV
L'un des meilleurs seconds vins de l'appellation Margaux
Un vignoble travaillé selon les principes de la biodynamie
Elevage en fûts de chêne pendant 20 mois, 50 à 60% de bois neuf
Caissage
N'oubliez pas de sauvegarder votre personnalisation pour pouvoir l'ajouter au panier- Marque Château Palmer
- Appellation Margaux Aop
- Millésime 2023
- Couleur Rouge
- Cépage(s) Cabernet-Sauvignon / Merlot / Petit Verdot
- Degré 13 °
- Type de culture Viticulture Raisonnee
- Température de service Entre 16 Et 18 C
- Région
- Bordeaux
- Pays Origine
- France
- Fermeture
- Bouchon
- Contenance
- Bouteille 75cl
- Super famille
- Vin
- Famille
- Bordeaux Rouge
- Sous Famille
- Margaux
- Pays de fabrication
- France
- Volume total
- 0.75 L
- Bio
- Non
- Code Pays
- Fr
- Rive
- Gauche
P23100200
L'info en +
Alter Ego de Palmer est le second vin du Château Palmer, troisième Grand Cru classé 1855 de Margaux. Il est l'un des meilleurs seconds vins de l'appellation, Robert Parker le décrit ainsi : « Le Château Palmer est l'une des propriétés dont le second vin est meilleur que le grand vin d'il y a 30 ou 40 ans. »Servi jadis au palais de Richelieu et plus tard à la cour de Louis XV, le Château Palmer a contribué à étendre la réputation des vins du Médoc. Le vignoble de Palmer, situé sur la croupe des graves garonnaises, comprend 52 hectares. L'âge moyen du vignoble est de 40 ans, avec un encépagement à part égale de Merlot et Cabernet Sauvignon (47% de chaque), puis 6% de petit Verdot. Les vins du château Palmer sont connus pour leur charme, la finesse des tanins, et leur fruité intense. Vignoble conduit en agriculture biodynamique.
« En dehors de la qualité des vins, j’en apprécie tout particulièrement l’approche. Cette prise de conscience de la nécessité de partir vers un Nouveau Monde, plus responsable, plus durable (…). Cette vision est unique. » Sylvain Fries, Conseiller en viticulture biologique, Responsable R&D vignoble Château Palmer.
C’est sur un coup de cœur que le Lieutenant-Colonel Charles Palmer, officier de l’armée britannique, acheta le domaine viticole de Gascq en 1814 après être tombé sous le charme de sa propriétaire Marie Brunet de Ferrière. Fortement agrandi et renommé de son patronyme, son engagement pour moderniser le vignoble aura raison de sa fortune.
Devenu propriété des frères Pereire, les célèbres banquiers acteurs majeurs de la modernisation haussmannienne de Paris, il fut enrichi de son magnifique château à tourelles et de ses dépendances. Malgré la qualité du vignoble, ce rachat fut trop tardif pour accéder au sommet du classement de 1855, Palmer devant se contenter du rang de 3ème cru classé de Margaux.
Racheté en 1938 par quatre familles spécialisées dans le négoce des vins bordelais - les Ginestet, les Miailhe, les Mähler-Besse et les Sichel – il est aujourd’hui encore la propriété de la troisième génération des Mähler-Besse et des Sichel. Dirigé avec brio depuis 2004 par Thomas Duroux, le domaine est certifié en biodynamie depuis 2018 après une expérimentation concluante menée sur un hectare dès 2009.
Les 66 hectares de merlot, cabernet-sauvignon et petit verdot sont idéalement situés sur une croupe qui fait face au Château Margaux et à l’estuaire de graves pyrénéennes güntziennes, la vigne pouvant compter sur une alimentation régulière et un drainage idéal. Après une vaste campagne de caractérisation décidée en 2007, la révision des méthodes de culture a été radicale : l’abandon du travail du sol traditionnel a laissé place à l’enherbement raisonné. Permanent ou saisonnier, semé ou naturel, il est adapté selon les taux d’azote, d’eau, les caractéristiques des sols et la vigueur des pieds de vigne. Inévitablement, les rendements ont été revus à la baisse au profit de la qualité.
Après un premier tri à la vigne, les raisins sont transportés en cagettes au cuvier et retournés sur un premier tapis vibrant. A l’issue du tri manuel, un érafloir révolutionnaire bat les grappes en douceur et trie les grains selon leur taille avant l’ultime sélection par tri optique afin de s’assurer de disposer d’une matière première la plus pure et la plus saine possible.
Une fois la fermentation lancée grâce à un levain, la récolte est foulée et transportée par gravité dans les 55 cuves inox tronconiques, avec des remontages robotisés pour arroser le chapeau avec le plus d’homogénéité possible. A l’issue de la fermentation, les vins sont entonnés dans 50 à 70 % de bois neuf pour une durée de 20 à 21 mois avec des soutirages à l’esquive.
Star incontournable de l’appellation Margaux avec un style très personnel essentiellement dû à son encépagement, sa légende s’est affirmée autour des millésimes 1961, 1983 et 1989, tous trois grandioses. Juteux, très racé, tout en opulence et en rondeur, il offre un soyeux magnifique. Musclé et bien charpenté, le Château Palmer est néanmoins très velouté et particulièrement charmeur. Doté d’une immense classe et d’une justesse exemplaire, le Château Palmer a pour vocation affirmée de restituer le plus justement possible son terroir dans le verre.
Avec son fruité tendre et rond, Alter Ego, le second vin du domaine, fait preuve lui aussi de beaucoup de raffinement.
Et après avoir retrouvé deux bouteilles de Palmer blanc dans les caves du château dans les années 90, Thomas Duroux a choisi de replanter une parcelle de blanc composée de muscadelle, de lozet, de sauvignon gris et de merlot blanc qui donne lieu à une production confidentielle non commercialisée… pour le moment !
Devenu propriété des frères Pereire, les célèbres banquiers acteurs majeurs de la modernisation haussmannienne de Paris, il fut enrichi de son magnifique château à tourelles et de ses dépendances. Malgré la qualité du vignoble, ce rachat fut trop tardif pour accéder au sommet du classement de 1855, Palmer devant se contenter du rang de 3ème cru classé de Margaux.
Racheté en 1938 par quatre familles spécialisées dans le négoce des vins bordelais - les Ginestet, les Miailhe, les Mähler-Besse et les Sichel – il est aujourd’hui encore la propriété de la troisième génération des Mähler-Besse et des Sichel. Dirigé avec brio depuis 2004 par Thomas Duroux, le domaine est certifié en biodynamie depuis 2018 après une expérimentation concluante menée sur un hectare dès 2009.
Les 66 hectares de merlot, cabernet-sauvignon et petit verdot sont idéalement situés sur une croupe qui fait face au Château Margaux et à l’estuaire de graves pyrénéennes güntziennes, la vigne pouvant compter sur une alimentation régulière et un drainage idéal. Après une vaste campagne de caractérisation décidée en 2007, la révision des méthodes de culture a été radicale : l’abandon du travail du sol traditionnel a laissé place à l’enherbement raisonné. Permanent ou saisonnier, semé ou naturel, il est adapté selon les taux d’azote, d’eau, les caractéristiques des sols et la vigueur des pieds de vigne. Inévitablement, les rendements ont été revus à la baisse au profit de la qualité.
Après un premier tri à la vigne, les raisins sont transportés en cagettes au cuvier et retournés sur un premier tapis vibrant. A l’issue du tri manuel, un érafloir révolutionnaire bat les grappes en douceur et trie les grains selon leur taille avant l’ultime sélection par tri optique afin de s’assurer de disposer d’une matière première la plus pure et la plus saine possible.
Une fois la fermentation lancée grâce à un levain, la récolte est foulée et transportée par gravité dans les 55 cuves inox tronconiques, avec des remontages robotisés pour arroser le chapeau avec le plus d’homogénéité possible. A l’issue de la fermentation, les vins sont entonnés dans 50 à 70 % de bois neuf pour une durée de 20 à 21 mois avec des soutirages à l’esquive.
Star incontournable de l’appellation Margaux avec un style très personnel essentiellement dû à son encépagement, sa légende s’est affirmée autour des millésimes 1961, 1983 et 1989, tous trois grandioses. Juteux, très racé, tout en opulence et en rondeur, il offre un soyeux magnifique. Musclé et bien charpenté, le Château Palmer est néanmoins très velouté et particulièrement charmeur. Doté d’une immense classe et d’une justesse exemplaire, le Château Palmer a pour vocation affirmée de restituer le plus justement possible son terroir dans le verre.
Avec son fruité tendre et rond, Alter Ego, le second vin du domaine, fait preuve lui aussi de beaucoup de raffinement.
Et après avoir retrouvé deux bouteilles de Palmer blanc dans les caves du château dans les années 90, Thomas Duroux a choisi de replanter une parcelle de blanc composée de muscadelle, de lozet, de sauvignon gris et de merlot blanc qui donne lieu à une production confidentielle non commercialisée… pour le moment !
L’appellation Margaux s’étend sur cinq communes de la Rive Gauche du vignoble bordelais : Margaux, Cantenac, Soussans, Labarde et Arsac pour lesquelles le terroir est caillouteux-graveleux avec quelques bancs calcaires, marneux et sablonneux. 21 Crus classés en 1855 ressortent de cette appellation (un Premier en 1855 et en 1973, 5 Seconds, 10 Troisièmes, 3 Quatrièmes et 2 Cinquièmes). Ledit terroir est bien protégé des vents océaniques par la forêt et bénéficie par l’estuaire de la Gironde d’un excellent brassage d’air tempérant ainsi le climat.
Margaux a la particularité d’avoir une consonance féminine au niveau de la désignation du vin, qui n’est pas non plus dénué de féminité par sa grâce, sa finesse, sa souplesse, ainsi que par son élégance. L’encépagement de l’appellation est composé de Cabernet Sauvignon, Cabernet Franc, Carmenère, Merlot rouge, Côt ou Malbec et Petit Verdot.
Les Margaux sont par excellence les vins les plus soyeux du Médoc. Ils nous dévoilent leurs charmes, leurs finesses des tannins. Les meilleurs Margaux peuvent être envoûtants. Le Château Margaux produit incontestablement l’un des meilleurs premiers grands crus du Bordelais. Quant à ses seconds vins, Le Pavillon Blanc et le Pavillon Rouge du Château Margaux, ils sont par ailleurs deux des meilleurs seconds vins du vignoble bordelais.